
Le blues du nympheur par Jean-Christian Michel
26 janvier 2012
On le surnommait Max ou Maxima. Pas par rapport au fil destiné aux bas de ligne, mais parce qu’il s’appelait Maxime et qu’avec lui, le maximum était le minimum. Son ego cinquante centièmes venait à bout de tout. Si le bougre était bon pêcheur, il n’avait pas besoin de ça pour faire des miracles. Max […]