
Vie et mort de Maurice (mon omble chevalier)
05 mars 2020
Quand Madame Andirons m’a téléphoné vers les sept heures trente, j’ai de suite compris que Maurice était passé. Cela faisait deux ans qu’il traînait. Les docteurs lui avaient trouvé un truc pas marrant, quelque part entre la gorge et le nombril… Un truc avec des « métatazes », comme il disait. Il s’était desséché comme un pruneau […]